L’humidité excessive dans une salle de bain peut rapidement causer moisissures et mauvaises odeurs. L’extracteur d’air est une solution efficace pour évacuer la vapeur et assurer une bonne qualité d’air. Mais quel modèle choisir ? Où l’installer pour une efficacité maximale ? Et quel budget prévoir ? Découvrez dans ce guide tout ce qu’il faut savoir pour bien choisir et installer votre extracteur d’air.
Extracteur d'air : qu'est-ce que c'est & comment ça marche ?
Un extracteur d’air, ou aérateur, est un petit appareil électrique conçu pour évacuer l’air humide et les mauvaises odeurs d’une pièce vers l’extérieur. Il se présente généralement sous la forme d’un boîtier en plastique ou en métal, équipé d’une grille frontale qui laisse passer l’air. À l’intérieur, il est composé d’un moteur, d’une hélice ou d’une turbine, et d’un conduit d’évacuation qui dirige l’air vicié hors du bâtiment. Lorsqu’il est activé, le moteur entraîne l’hélice qui aspire l’air de la salle de bain et le rejette à l’extérieur, créant ainsi un renouvellement constant. Ce système empêche l’accumulation d’humidité et limite les risques de dégradations. Dans une salle de bain, où la vapeur d’eau s’accumule rapidement, il joue un rôle essentiel en empêchant la formation de condensation et de moisissures.
Votre salle de bain a-t-elle besoin d’un extracteur d’air ?
Un extracteur d’air peut être un simple confort ou une véritable nécessité selon la configuration de votre salle de bain. Dans certaines situations, il devient indispensable pour éviter l’accumulation d’humidité et ses conséquences : moisissures, mauvaises odeurs, détérioration des revêtements… Voici les cas où son installation est fortement recommandée.
Votre salle de bain n’a pas de fenêtre
Sans ouverture vers l’extérieur, l’air ne se renouvelle pas naturellement et la vapeur d’eau produite par la douche ou la baignoire reste piégée. Avec le temps, l’humidité sature la pièce, favorisant l’apparition de moisissures sur les murs et le plafond. Les odeurs d’humidité persistent et les matériaux, comme la peinture ou le bois, finissent par se dégrader.
Votre VMC est insuffisante ou inexistante
Certaines habitations, notamment les anciennes constructions, ne sont pas équipées d’une Ventilation Mécanique Contrôlée (VMC). D’autres disposent d’un système peu performant ou mal entretenu qui ne parvient pas à extraire efficacement l’humidité. Résultat : après chaque douche, la condensation s’accumule, laissant une sensation de moiteur désagréable et augmentant le risque de développement de champignons.
Votre logement est ancien
Dans les maisons anciennes, la ventilation n’a pas toujours été prise en compte lors de la construction. Les murs épais et peu respirants peuvent piéger l’humidité, et l’absence de bouches d’aération empêche son évacuation. Dans ces conditions, la salle de bain devient rapidement un espace où l’eau stagne, ce qui peut engendrer des problèmes de dégradation des revêtements et des odeurs persistantes.
Des traces d’humidité apparaissent malgré l’aération
Ouvrir la porte ou une fenêtre après chaque douche ne suffit pas toujours à éliminer complètement l’humidité. Si vous remarquez des joints qui noircissent, des traces de moisissures sur le plafond ou une peinture qui commence à cloquer, c’est le signe que l’air ne se renouvelle pas assez rapidement. À long terme, ces problèmes peuvent endommager les surfaces et rendre l’entretien de la salle de bain plus contraignant.
Votre salle de bain est très fréquentée
Dans un foyer où la salle de bain est utilisée plusieurs fois par jour, l’humidité a moins de temps pour s’évacuer entre deux douches. La condensation s’accumule rapidement sur les parois, et l’air devient lourd et chargé d’humidité. Sans une bonne évacuation, la pièce reste humide en permanence, ce qui favorise le développement de moisissures et accélère l’usure des matériaux.
💡 Si vous êtes concerné par l’une de ces situations, vous devez prendre le problème de la ventilation au sérieux avant que l'humidité n'endommage votre salle de bain et le reste de votre maison !
Où se place l'aérateur dans une salle de bain ?
L’installation d’un extracteur d’air doit être réfléchie pour assurer une évacuation efficace de l’humidité et respecter les règles de sécurité. Son emplacement dépend des contraintes de la pièce, de la présence d’une sortie d’air et des normes électriques en vigueur.
L'installer sur un mur ou au plafond : quel est le meilleur emplacement ?
- Au plafond : idéal pour capter les vapeurs d’eau qui montent naturellement, surtout si un conduit d’évacuation vertical est possible.
- Sur un mur : une solution pratique en rénovation, à condition qu’une sortie d’air vers l’extérieur soit disponible. Il est recommandé de le positionner dans un angle, au-dessus d’une source d’humidité comme la douche ou le lavabo.
Pour maximiser l’efficacité de l’aération, il est conseillé d’installer l’extracteur face à une porte ou à l’opposé d’une fenêtre afin d’optimiser la circulation de l’air.
Distance par rapport à la douche ou la baignoire : les zones de sécurité à respecter
L’installation d’un extracteur d’air dans une salle de bain doit respecter la norme NF C 15-100, qui définit plusieurs zones de sécurité en fonction des risques liés à l’humidité :
- Zone 1 (dans la douche ou au-dessus de la baignoire) : interdite, sauf pour les modèles très basse tension (12 V) protégés contre l’humidité.
- Zone 2 (à plus de 60 cm de la douche ou de la baignoire) : possible avec un appareil ayant un indice de protection IPX4 minimum.
- Zone 3 (au-delà de 120 cm) : aucune contrainte particulière, installation libre.
Quel extracteur d'air choisir pour la salle de bain ?
Le choix d’un extracteur d’air dépend de plusieurs critères : son mode de fonctionnement, sa capacité d’extraction et ses performances adaptées à une salle de bain. Pour une ventilation efficace, il faut un modèle conçu pour les environnements humides et conforme aux normes en vigueur.
Les différents types d'extracteur
Extracteur d’air avec hygrostat
il se déclenche automatiquement lorsque l’humidité dépasse un certain seuil. Idéal pour une gestion autonome sans intervention manuelle, il garantit un renouvellement d’air optimal et évite les problèmes de condensation.
Extracteur d’air permanent
Il fonctionne en continu à faible débit et augmente sa puissance en cas de besoin. Il assure un renouvellement constant de l’air, même lorsque la salle de bain est inoccupée, réduisant ainsi les risques de moisissures.
Extracteur d’air intermittent
Il fonctionne ponctuellement selon un déclencheur choisi :
- Avec interrupteur : activé manuellement à la demande.
- Avec détection de présence : s’enclenche dès qu’une personne entre dans la salle de bain.
- Couplé à l’éclairage : démarre automatiquement lorsque la lumière est allumée et s’arrête après un certain temps.
- Avec un timer : prolonge l’extraction pendant une durée définie après l’extinction de la lumière ou l’arrêt du déclencheur, assurant ainsi l’évacuation complète de l’humidité résiduelle.
Quel débit d'extraction et quelle puissance choisir ?
Le choix du débit d’extraction d’un extracteur d’air doit être adapté à la taille de la salle de bain et au volume d’air à renouveler. La réglementation, définie par l’arrêté du 24 mars 1982, impose un débit minimal de 15 à 30 m³/h selon le nombre de pièces du logement.
Le dimensionnement se fait en fonction du nombre de renouvellements d’air par heure (NR/h), qui indique combien de fois l’air de la pièce doit être entièrement remplacé en une heure. Pour une salle de bain, il est recommandé un renouvellement de 10 à 15 fois par heure. Le débit d’extraction s’obtient alors en multipliant le volume de la salle de bain par le NR/h recommandé. ce débit doit être accompagné d’une puissance de moteur adaptée pour garantir une extraction efficace sans excès de consommation énergétique.
Exemple concret :
Une salle de bain de 7 m² avec une hauteur sous plafond de 2,5 m a un volume de 17,5 m³.Si l’on applique un renouvellement d’air moyen de 12 fois par heure, le débit nécessaire sera :
➡ 17,5 m³ × 12 = 210 m³/h
Ainsi, pour une salle de bain de cette taille, un extracteur d’air d’au moins 200 m³/h est recommandé. La puissance du moteur, exprimée en watts (W), joue également un rôle clé dans l’efficacité de l’appareil. Un modèle standard avec une puissance de 10 à 20 W sera suffisant pour couvrir un débit de 150 à 250 m³/h, tandis qu’un extracteur plus puissant (20 W et plus) sera préférable pour les grandes salles de bain nécessitant un débit supérieur à 250 m³/h. À l’inverse, pour une petite salle de bain, un moteur de 5 à 10 W suffit pour un débit inférieur à 150 m³/h.
Quels sont les meilleurs modèles pour la salle de bain ?
S&P Silent 300 – Puissant et efficace pour les grandes salles de bain
Avec un débit de 280 m³/h et un diamètre de 150 mm, cet extracteur intermittent est parfait pour les grandes salles de bain ou les pièces sujettes à une forte humidité. Son détecteur d’humidité intégré lui permet de s’activer automatiquement lorsque le taux d’hygrométrie dépasse un certain seuil, assurant une extraction optimale. Son moteur ultra-silencieux et son design anti-vibration offrent un confort d’utilisation inégalé, tandis que son clapet anti-retour empêche les remontées d’air extérieur.
Sauter Zemu SDB – Ventilation continue pour un air toujours sain
Ce modèle permanent de la marque Sauter est conçu pour assurer un renouvellement constant de l’air. Avec un débit de 100 m³/h, il maintient un niveau d’humidité stable en évacuant en continu l’air vicié. Son moteur basse consommation en fait une solution économique et efficace pour prévenir les problèmes de condensation et de moisissures, sans intervention manuelle. Grâce à son fonctionnement discret et automatique, il est idéal pour ceux qui recherchent une ventilation sans contrainte.
Quelle est la différence entre une VMC et un extracteur d'air ?
Une VMC (Ventilation Mécanique Contrôlée) et un extracteur d’air ont le même objectif : évacuer l’humidité et renouveler l’air, mais leur fonctionnement diffère. La VMC est un système centralisé qui ventile l’ensemble du logement en continu, via un réseau de gaines reliées à des bouches d’extraction. L’extracteur d’air, lui, est un appareil autonome, installé dans une pièce humide comme la salle de bain, qui fonctionne ponctuellement ou en continu pour évacuer l’air vicié. Contrairement à la VMC, il ne renouvelle pas l’air de toute l’habitation mais traite uniquement l’humidité là où il est placé. Moins coûteux et plus facile à installer, il est une alternative intéressante lorsque la pose d’une VMC n’est pas possible.
Quel prix pour un bon aérateur ?
Le prix d’un extracteur d’air dépend de plusieurs critères : débit d’extraction, type de fonctionnement (intermittent ou permanent), présence d’un hygrostat, niveau sonore et marque.
👉 Fourchette de prix selon le type d’extracteur :
- Modèle basique (interrupteur manuel, sans capteur) : 15 à 40 €
- Avec détecteur d’humidité : 50 à 90 €
- Modèle haut de gamme (débit élevé, ultra-silencieux, basse consommation) : 100 à 170 €
À cela, il faut ajouter le coût d’installation, qui varie entre 100 et 300 € selon la complexité des travaux et la nécessité d’un raccordement électrique.
Comment se fait l'installation ?
L’installation d’un extracteur d’air dépend du type de système de ventilation choisi et de l’emplacement de l’appareil. Il doit être raccordé à une évacuation vers l’extérieur pour assurer une bonne extraction de l’air vicié.
Le processus commence par le perçage du mur, du plafond ou de la vitre, selon l’emplacement prévu. L’extracteur est ensuite fixé et relié à l’alimentation électrique. Certains modèles nécessitent un transformateur, notamment ceux fonctionnant en très basse tension (12V) pour être installés en zone humide, comme au-dessus d’une baignoire ou d’une douche. Enfin, un conduit d’évacuation est mis en place pour assurer un rejet efficace de l’air vers l’extérieur.
Pourquoi choisir l’extracteur d’air plutôt qu’un autre système de ventilation ?
Pour lutter contre l’humidité dans une salle de bain, plusieurs solutions existent : aérations naturelles, ventilateurs, déshumidificateurs… Mais l’extracteur d’air se distingue par ses avantages uniques, en offrant une ventilation efficace, localisée et adaptée à toutes les configurations.
Une installation simple et rapide
Contrairement aux systèmes de ventilation nécessitant un réseau de conduits ou des travaux complexes, l’extracteur d’air s’installe facilement sur un mur, un plafond ou une vitre. Il suffit d’un raccordement électrique et d’une sortie d’air vers l’extérieur pour assurer son bon fonctionnement. Son installation est donc rapide, peu contraignante et idéale en rénovation.
Un coût abordable
Parmi les différentes solutions de ventilation, l’extracteur d’air est l’une des plus accessibles. Avec un prix d’achat compris entre 15 et 300 €, il constitue une alternative économique aux systèmes plus sophistiqués tout en restant performant. De plus, son installation ne nécessite pas d’importants travaux, ce qui réduit le coût global.
Une ventilation localisée et ciblée
Contrairement aux ventilations générales qui traitent l’ensemble d’un logement, l’extracteur d’air agit directement là où l’humidité se forme, dans la salle de bain. Il aspire l’air chargé de vapeur au plus près de la source, limitant ainsi les risques de condensation et protégeant efficacement les murs, plafonds et revêtements. Cette ventilation ciblée permet une extraction rapide et immédiate de l’air humide, évitant ainsi qu’il ne se propage dans le reste de la maison.
Une solution discrète et silencieuse
Les systèmes de ventilation peuvent être bruyants ou encombrants. Un extracteur d’air moderne est compact et conçu pour être discret, avec un niveau sonore souvent inférieur à 30 dB pour les modèles les plus silencieux. Son design permet une intégration harmonieuse, sans gêner l’esthétique de la salle de bain.
Adapté à toutes les configurations
L’extracteur d’air peut être installé dans toutes les salles de bain, qu’il y ait ou non une aération existante. Il s’adapte aux logements anciens comme aux constructions récentes et peut être fixé au mur, au plafond ou même sur une vitre selon les contraintes de la pièce. C’est une solution flexible, utilisable aussi bien en maison qu’en appartement.

Lexique
- Air vicié : Désigne l'air pollué à l'intérieur d'un bâtiment, chargé d'humidité, de CO₂, de COV (composés organiques volatils) ou de mauvaises odeurs. Son extraction est essentielle pour éviter la condensation et améliorer la qualité de l'air intérieur.
- Caisson d'extraction : Enveloppe insonorisée contenant un ventilateur d'extraction, utilisée pour réduire le bruit de fonctionnement des extracteurs d'air tout en assurant une bonne performance.
- Clapet anti-retour : Dispositif installé sur un conduit d'extraction pour empêcher l'air extérieur ou l'air vicié rejeté de revenir à l’intérieur. Il est particulièrement utile pour éviter les courants d'air indésirables et limiter les pertes thermiques.
- Conduit de ventilation : Tuyau ou gaine permettant d'acheminer l'air vicié vers l'extérieur. Il peut être rigide (PVC, acier galvanisé) ou souple (alu, PVC), et son diamètre influence directement la performance de l'extracteur.
- Débit d'extraction (m³/h ou nr/h) : Indique la quantité d'air que l'extracteur peut renouveler en une heure. Une valeur trop faible entraîne une ventilation insuffisante, tandis qu'un débit trop élevé peut causer des déperditions thermiques.
- Extracteurs intermittents : Dispositifs activés ponctuellement, souvent via un interrupteur ou une minuterie, pour évacuer rapidement l'air vicié (ex. : salle de bain, WC). Leur efficacité dépend du temps d’activation et du volume à traiter.
- Extracteurs permanents : Fonctionnent en continu à faible débit et passent en grande vitesse selon un besoin détecté (humidité, présence). Ils assurent un renouvellement constant de l'air intérieur et préviennent les problèmes d'humidité.
- Extracteur hygroréglable : Modèle équipé d’un capteur d’humidité qui ajuste automatiquement la vitesse de l’extraction en fonction du taux d’humidité ambiant. Idéal pour éviter la condensation et optimiser la consommation énergétique.
- Extracteur temporisé : Modèle qui continue de fonctionner pendant une durée définie après extinction de la lumière ou fermeture d’un contact, garantissant une évacuation complète de l’air vicié avant l’arrêt.
- Pertes de charge : Résistances au passage de l’air causées par la longueur, le diamètre et la forme des conduits. Plus elles sont élevées, plus l’extracteur doit être puissant pour maintenir un bon débit.
- Pression statique : Force exercée par l’extracteur pour déplacer l’air dans un conduit. Plus un réseau est complexe (coudes, longueur importante), plus la pression requise est élevée pour garantir une extraction efficace.
- Système double flux : Dispositif combinant une extraction de l’air vicié et une insufflation d’air neuf, souvent muni d’un échangeur thermique pour limiter les pertes énergétiques.
- Transformateur : Convertisseur électrique permettant d’adapter la tension d’alimentation d’un extracteur basse tension (ex. : 12V ou 24V). Utilisé en milieu humide pour éviter les risques électriques.
- Turbine à réaction : Type de ventilateur plus performant qu’une hélice, utilisé dans certains extracteurs pour augmenter la pression d’extraction sur de longs conduits.
- Ventilation mécanique contrôlée (VMC) : Système assurant une extraction continue de l’air vicié et un renouvellement automatique de l’air intérieur, généralement installé dans les logements et bâtiments tertiaires.
- Zone de rejet : Endroit où l’air vicié est expulsé à l’extérieur. Son emplacement doit être soigneusement choisi pour éviter tout refoulement ou nuisance (ex. : éloigné des ouvertures et des zones de prise d’air neuf).
Références :
- Un air sain chez soi, sante.gouv
- Quel système de ventilation choisir ?, ademe
- Comment installer une nouvelle ventilation ?, qualitel.org
FAQ utile
Est-ce qu'un extracteur d'air peut remplacer une VMC ?
Est-ce qu'un extracteur d'air fait du bruit ?
Est-ce qu'un extracteur d'air consomme beaucoup d'électricité ?
Quel entretien prévoir pour l'extracteur d'air ?
- Nettoyer la grille et l'hélice avec un chiffon humide tous les 3 mois.
- Vérifier et dépoussiérer le moteur tous les 6 mois.
Comment choisir le diamètre de l'aérateur ?
- Ø 80 mm : Petites pièces (<5 m², WC).
- Ø 100 mm : Salle de bain standard.
- Ø 120 mm : Grande salle de bain ou buanderie.
- Ø 150 mm : Cuisine ou grande pièce humide.
Est-il obligatoire d'avoir une aération dans la salle de bain ?
- 15 m³/h pour une salle d’eau avec douche ou un WC.
- 30 m³/h pour une salle de bain avec baignoire.
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