Essentiels mais souvent invisibles, les chéneaux assurent l’évacuation des eaux de pluie et la protection de votre toiture. Vous envisagez de rénover ou d’entretenir un chéneau ? Découvrez ici les critères qui influencent les devis et des exemples concrets pour vous guider dans votre projet.
⚠️ Important :
Les chéneaux font partie intégrante de la structure du toit. Ainsi, leur remplacement reste une opération délicate. Étant directement intégrés au gros œuvre, retirer ou remplacer un chéneau peut affecter l’ensemble de la toiture et nécessite une expertise spécifique pour éviter les problèmes d’étanchéité ou d’infiltration. Dans la plupart des cas, les travaux sur un chéneau existant concernent principalement la réparation ou l’entretien, pour prolonger sa durée de vie et assurer son bon fonctionnement.
Quels éléments font varier le prix d'un devis de chéneau ?
Le matériau choisi
Pour la pose d'un chéneau, le matériau du chéneau (zinc, PVC, cuivre, etc.) joue un rôle majeur dans le coût global. Chaque matériau a son propre prix et niveau de durabilité, ce qui peut faire varier le devis de manière significative.
La longueur et la dimension
Plus le chéneau est long et large, plus le prix augmente en raison de la quantité de matériaux et du temps d’installation nécessaires. Un chéneau adapté à une grande toiture aura un coût plus élevé qu'un modèle standard pour un toit plus petit.
La configuration de la toiture
Les spécificités du toit : pentu, anguleux... peuvent rendre l'installation plus complexe et donc plus coûteuse. Par exemple, un toit à la configuration complexe nécessitera des raccords supplémentaires, ce qui peut augmenter le tarif.
L’accessibilité du chantier
Si l’accès au toit est difficile : pente raide, étage élevé... des équipements spécifiques comme des échafaudages seront nécessaires, entraînant un surcoût.
Le type de réparation nécessaire
Les réparations sur un chéneau peuvent varier en complexité et en coût. Une simple réparation d’étanchéité sera moins coûteuse qu’une reprise complète des raccords ou un renforcement structurel. Le type de réparation influe donc directement sur le prix du devis, selon l’ampleur des travaux requis pour garantir une évacuation des eaux optimale.
Exemple devis chéneau n°1 : réfection de chéneau sur toit plat en bac acier
Ce devis concerne la réfection de chéneaux détériorés situés sur un toit plat en bac acier d'un immeuble résidentiel en région parisienne. Les chéneaux actuels, en acier, présentent des signes avancés de corrosion. Les travaux commencent par le retrait des chéneaux existants, le renforcement du support, et la pose des nouveaux chéneaux en zinc.
Désignation | Quantité | Prix unitaire (HT) | Total HT |
Dépose et préparation du chéneau existant | |||
Dépose du chéneau existant en acier (démontage et évacuation) | 33 ml | 32,00 € | 1 376,00 € |
Nettoyage et préparation de la zone pour installation du nouveau chéneau | 33 ml | 10,00 € | 430,00 € |
Renforcement du support et étanchéité | |||
Application d’un primaire d'accrochage pour étanchéité renforcée | 33 ml | 10,00 € | 344,00 € |
Renfort du support de chéneau par pose d’une bande d’étanchéité butyle (Butyband, largeur 10 cm) | 33 ml | 12,00 € | 430,00 € |
Fourniture et pose du nouveau chéneau en zinc | |||
Chéneau en zinc naturel 0,65 mm d'épaisseur | 33 ml | 105,00 € | 4 085,00 € |
Joint d'étanchéité pour raccords de chéneaux en zinc (mastic polyuréthane SikaFlex 11 FC) | 1 lot | 70,00 € | 70,00 € |
Fixations en acier inoxydable pour chéneau en zinc | 1 lot | 28,00 € | 28,00 € |
Finitions et nettoyage de fin de chantier | |||
Vérification complète des raccords et joints pour assurer l’étanchéité | Forfait | 200,00 € | 200,00 € |
Nettoyage de la zone de travail et évacuation des déchets vers une déchetterie agréée | Forfait | 450,00 € | 450,00 € |
Total HT | 7 413,00 € | ||
TVA (10 %) | 741,30 € | ||
Total TTC | 8 154,30 € |
Exemple devis chéneau n°2 : chemisage de chéneau suite à des infiltrations
Ce devis concerne le chemisage d’un chéneau vieillissant situé sur une maison d'habitation en région lyonnaise. L’étanchéité actuelle du chéneau est devenue insuffisante, provoquant des problèmes d'humidité. En raison de contraintes techniques, le chéneau ne peut pas être retiré. Un chemisage interne par résine d’étanchéité est donc proposé comme solution adaptée, permettant de restaurer l’étanchéité et d'éviter des travaux plus lourds.
Exemple devis chéneau n°3 : nettoyage des chéneaux d'une maison
Ce devis concerne le nettoyage des chéneaux d’une maison individuelle située dans la région bordelaise. Les chéneaux présentent des obstructions dues à l'accumulation de feuilles et de débris, ce qui pourrait compromettre l’écoulement des eaux de pluie et entraîner des infiltrations. L'intervention prévoit le nettoyage complet des chéneaux, le dégagement des zones obstruées, ainsi qu'une vérification de l'état général des chéneaux pour prévenir tout risque futur.
Désignation | Quantité | Prix unitaire (HT) | Total HT |
Nettoyage des chéneaux | |||
Enlèvement manuel des débris, feuilles et boue accumulés dans les chéneaux sur l'ensemble de la maison | 25 ml | 8,00 € | 200,00 € |
Rinçage à l’eau claire et contrôle de l’écoulement de chaque section de chéneau | 25 ml | 5,00 € | 125,00 € |
Inspection et vérifications | |||
Inspection des raccords et soudures des chéneaux pour déceler d'éventuelles fuites ou fissures | 1 | 50,00 € | 50,00 € |
Rapport d’état général des chéneaux et conseils d'entretien | 1 | 30,00 € | 30,00 € |
Nettoyage de fin de chantier | |||
Ramassage des déchets et évacuation vers une déchetterie agréée | 1 | 40,00 € | 40,00 € |
Total HT | 445,00 € | ||
TVA (10%) | 44,50 € | ||
Total TTC | 489,50 € |
Les prix des chéneau selon le matériau
Voici un tableau présentant les prix des chéneaux en fonction des matériaux, avec des estimations de prix au mètre linéaire (ml) :
Matériaux | Prix moyen au mètre linéaire (ml) |
Chéneau en zinc | 50 à 100 € |
Chéneau en cuivre | 90 à 130 € |
Chéneau en acier galvanisé | 25 à 40 € |
Chéneau en PVC | 20 à 35 € |
Chéneau en aluminium | 80 à 110 € |
👉 La fourchette globale pose comprise se situe entre 60 et 210 € par mètre linéaire.
Quel artisan pour poser ou réparer un chéneau ?
Le couvreur : l’artisan principal
Le couvreur est le professionnel de référence pour la pose et la réparation de chéneaux. Maîtrisant les techniques d’étanchéité et de fixation, il assure une installation durable et adaptée à la toiture. Que ce soit pour un chéneau neuf ou pour des réparations, le couvreur garantit un travail précis et conforme aux besoins de votre toit.
Le zingueur : pour les travaux de métaux
Si votre chéneau est en zinc, cuivre ou tout autre métal, le couvreur peut collaborer avec un zingueur ou avoir la spécialité couvreur-zingueur. Ce spécialiste des éléments métalliques de toiture s’occupe des raccords et ajustements techniques pour des finitions soignées, assurant à la fois esthétique et robustesse.
Le charpentier : en cas de modifications structurelles
Dans le cadre d’une rénovation importante, notamment si la structure de la toiture doit être ajustée, le charpentier peut être sollicité. Son expertise garantit la solidité des supports du chéneau et l’intégrité de la structure.
👨🔧 Astuce de pro : remplacer un chéneau par des tuiles et gouttières en zinc
Quand un chéneau intégré vieillit mal ou que sa réparation devient coûteuse, certains professionnels optent pour une solution alternative : remplacer le chéneau par des tuiles et des gouttières extérieures. C’est une option à envisager, surtout si les travaux de rénovation de toiture sont déjà prévus !
Pourquoi bien entretenir son chéneau ?
Assurer un bon entretien de son chéneau est essentiel pour préserver l’étanchéité et la durabilité de la toiture. En laissant s’accumuler des feuilles, des débris ou même des mousses, le chéneau peut rapidement se boucher et provoquer des problèmes d’écoulement. À terme, cela risque d’entraîner des infiltrations d’eau dans les murs endommageant la structure de la maison.
Un chéneau bien entretenu permet également d’éviter des réparations coûteuses. En effectuant des inspections régulières et un nettoyage adapté, on peut prolonger sa durée de vie et préserver son efficacité. Dans le cas des chéneaux métalliques, cela réduit aussi les risques de corrosion et autres dégradations liées à l’humidité.
Les 5 signes d'usure qui nécessitent une intervention
Un chéneau bien entretenu assure une évacuation efficace des eaux pluviales et protège la structure de la maison. Avec le temps, plusieurs signes peuvent indiquer des problèmes potentiels :
1. Fuites et infiltrations
Des fuites d’eau au niveau du chéneau peuvent signaler des fissures ou des points d’usure dans le matériau. Ces infiltrations peuvent provoquer des dégâts dans la charpente, les murs et même les fondations si elles ne sont pas traitées rapidement.
2. Apparition de rouille ou de corrosion
Sur les chéneaux métalliques, comme ceux en zinc ou en acier galvanisé, l’apparition de taches de rouille ou de corrosion est un indicateur d’usure. Avec le temps, la corrosion affaiblit le chéneau, le rendant plus vulnérable aux fuites et aux dégradations.
3. Obstruction par les débris
L’accumulation de feuilles, de mousse ou d’autres débris peut obstruer le chéneau et empêcher une évacuation correcte de l’eau. Une obstruction fréquente peut entraîner des débordements et favoriser la stagnation d’eau, augmentant le risque de fissures et de déformations.
4. Déformations ou affaissements
Les chéneaux peuvent se déformer ou s’affaisser sous le poids des débris accumulés ou en raison d’un manque d’entretien. Ces déformations indiquent un affaiblissement de la structure, qui nécessite une réparation rapide pour éviter des dommages plus graves.
5. Apparition de végétation
La présence de mousse, de lichens, ou même de petites plantes est un signe d’humidité permanente, souvent due à une stagnation d’eau. Cette végétation accélère la dégradation du chéneau et peut obstruer l’écoulement de l’eau.
Les différents types de chéneaux
Il existe plusieurs types de chéneaux, chacun adapté à des configurations de toiture et des matériaux spécifiques. Ces variantes influencent à la fois leur solidité, leur capacité de drainage, et leur accessibilité pour l’entretien.
Le chéneau posé (ou sur entablement)
Le chéneau posé repose sur un support solide, souvent appelé entablement, fait de matériaux comme la pierre, le béton, le plâtre ou parfois le bois. Son avantage principal est sa robustesse, surtout quand l’entablement est en pierre ou en béton, capable de supporter le poids d’une personne pour des interventions d’entretien. Ce type de chéneau est large (souvent 30 cm), ce qui lui permet de gérer un volume important d’eau, idéal pour les toitures de grande taille.
Le chéneau à l’anglaise
Le chéneau à l’anglaise repose également sur un entablement mais est intégré dans un coffrage en bois ou en bac acier, offrant une solution compacte. Moins large que le chéneau posé, il s'adapte aux structures nécessitant une installation plus discrète. Ce type de chéneau est souvent utilisé dans les constructions traditionnelles ou anciennes, où l'intégration esthétique est essentielle. Il allie discrétion et efficacité, bien qu'il ne puisse pas supporter des charges lourdes comme le chéneau posé.
Le chéneau encaissé
Ce chéneau est encastré directement dans la toiture, soit entre deux pans de toit, soit entre un pan et un mur. Invisible depuis le bas de l’édifice, il est souvent choisi pour des raisons esthétiques ou lorsque l’architecture du bâtiment impose une intégration discrète. Le chéneau encaissé est conçu pour s’adapter parfaitement aux toitures complexes, mais sa solidité dépend du type de matériaux utilisés pour sa structure. Il est particulièrement courant dans les bâtiments modernes où l’esthétique de la façade est primordiale.
Les matériaux des chéneaux : entre tradition et modernité
Les chéneaux peuvent être fabriqués à partir de différents matériaux selon les besoins et le style architectural :
- Métaux modernes : Zinc, cuivre, acier inoxydable, et acier galvanisé sont privilégiés pour leur résistance aux intempéries et leur durabilité.
- Matériaux anciens : Dans les bâtiments historiques, les chéneaux étaient parfois en pierre, en terre cuite ou même en bois recouvert de plomb. Ces matériaux nécessitent un entretien spécifique et, souvent, des rénovations pour respecter l’authenticité des structures anciennes.
Quelle est la différence entre gouttière et chéneau ?
Ces deux éléments remplissent une fonction similaire de collecte et d’évacuation des eaux de pluie. Bien qu’on les utilise souvent de manière interchangeable, des différences existent : elles se situent principalement dans leur emplacement, leur conception et la capacité de gestion des eaux.
La gouttière : un élément amovible et apparent
Une gouttière est une canalisation légère et amovible, installée le long du bord du toit. Visible depuis l’extérieur, elle collecte l’eau de pluie et la dirige vers un tuyau de descente pour un écoulement maîtrisé, protégeant ainsi les murs et les fondations. Conçue pour des toits standards, la gouttière ne supporte pas de charges lourdes et nécessite donc un entretien régulier pour éviter l’encombrement par des feuilles ou des débris.
📌
Ces articles sur les gouttières peuvent vous intéresser :
Quel est le prix d'une gouttière ? Tous les tarifs par matériau
3 exemples de devis pour la pose de gouttières en zinc
Le chéneau : un élément intégré au bâti
Le chéneau est intégré directement dans la structure du toit ou placé entre deux pans de toiture. Contrairement à la gouttière, il est souvent encastré et fait partie intégrante du gros œuvre, ce qui le rend son support non amovible. Capable de supporter le poids d'un homme, il est conçu pour gérer des volumes d’eau bien plus importants, notamment en cas de fortes pluies. Cette robustesse fait du chéneau un choix idéal pour les grandes surfaces de toiture ou les bâtiments aux toits plats, où l’écoulement d’eau doit être intensif.
Lexique
- Acrotère : Élément vertical en bordure d'une toiture-terrasse, servant de protection et de support pour les chéneaux ou autres systèmes d'évacuation des eaux pluviales. Important pour assurer l'étanchéité et prévenir les infiltrations d'eau.
- Bac acier : Panneau métallique utilisé pour les toitures ou bardages, parfois associé à un chéneau pour gérer l'écoulement des eaux pluviales. Utilisé dans les constructions industrielles, il assure une protection durable contre les intempéries.
- Cavité de dilatation : Espace laissé dans un chéneau pour compenser les variations dimensionnelles dues aux changements de température. Indispensable pour éviter les fissures et ruptures dans les systèmes de collecte d’eau.
- Descente pluviale : Tuyau vertical qui relie le chéneau au réseau d’évacuation au sol. Son bon dimensionnement est essentiel pour éviter les débordements d'eau depuis la toiture.
- Entablement : Partie supérieure d’une façade, comprenant généralement un chéneau, qui collecte l'eau de pluie des corniches et des toits inclinés. Important pour protéger la structure contre l'humidité.
- Faitage : Ligne de jonction supérieure entre deux versants de toit, souvent prolongée par un chéneau pour canaliser les eaux pluviales. Un bon faitage prévient les infiltrations d'eau dans l'édifice.
- Gouttière pendante : Canal fixé le long des toits inclinés pour récupérer l'eau de pluie, souvent complété par des chéneaux pour les toitures plus complexes. Crucial pour protéger les murs et fondations contre l'humidité.
- Joint de dilatation : Dispositif inséré dans les chéneaux ou toitures pour absorber les mouvements dus aux variations de température. Fondamental pour éviter les dégradations des matériaux en métal ou béton.
- Noué : Pièce de toiture située à la jonction de deux pans inclinés, qui intègre souvent un chéneau pour recueillir les eaux. Essentiel pour garantir l'étanchéité à ces intersections vulnérables.
- Pente d’écoulement : Inclinaison calculée des chéneaux ou gouttières pour permettre un écoulement efficace de l’eau de pluie. Une mauvaise pente peut entraîner des accumulations d’eau et des débordements.
- Planche de rive : Élément en bois ou PVC fixé à la bordure du toit, souvent utilisé pour soutenir un chéneau. Nécessaire pour protéger les extrémités des toitures contre les intempéries.
- Rejingot : Partie surélevée d'une fenêtre ou d'un mur, conçue pour détourner l'eau vers le chéneau ou la gouttière. Prévient les infiltrations d'eau dans les structures verticales.
- Solin : Dispositif d’étanchéité installé à la jonction entre le toit et un mur, souvent en relation avec les chéneaux pour éviter les infiltrations. Crucial pour protéger les structures en dur contre l'eau.
- Talon de gouttière : Pièce qui vient fermer l’extrémité d’un chéneau ou d’une gouttière, empêchant l’eau de fuir par les bords. Primordial pour diriger correctement les eaux vers les descentes.
- Tirant d’ancrage : Élément de fixation qui assure la stabilité des chéneaux suspendus ou des gouttières, surtout lors de conditions météorologiques extrêmes. Garantit la sécurité et la longévité du système de collecte d’eau.
FAQ utile
Qu'est-ce qu'un chéneau suspendu ?
–
Le chéneau suspendu est l'équivalent de la gouttière traditionnelle : fixé directement sous le rebord du toit, il recueille les eaux pluviales pour les rediriger vers les descentes d'eau. Le chéneau suspendu, ou gouttière, convient aux toitures de toutes dimensions et offre une installation simple à l'aide de crochets fixés sur la planche de rive.
Comment calculer la dimension d'un chéneau ?
+
Pour dimensionner un chéneau, il est essentiel de connaître la surface de la toiture à drainer ainsi que l'intensité des précipitations locales. Le calcul repose sur le débit d'eau à évacuer, exprimé en litres par seconde (L/s), obtenu en multipliant la surface de toit par l'intensité des précipitations. En général, une largeur de chéneau de 20 cm convient pour une toiture de 50 m², mais il est recommandé de faire appel à un professionnel pour des mesures précises, surtout dans les régions à fortes précipitations.
Quel est le prix du mètre linéaire de gouttière ?
+
Le prix d’une gouttière au mètre linéaire dépend du matériau choisi. Les gouttières les moins chères sont celles en PVC. Il faut compter entre 5 et 10 euros par mètre linéaire hors pose pour du PVC, tandis que les modèles métalliques peuvent varier entre 15 et 45 euros le mètre.
Quel est le prix d'une gouttière en zinc ?
+
Une gouttière en zinc coûte en moyenne entre 10 et 30 euros par mètre linéaire. Ce matériau est prisé pour sa résistance aux intempéries et sa longévité (jusqu'à 40 ans). Le coût final dépendra de la qualité du zinc et des spécifications du modèle choisi, mais il faut aussi inclure les frais d’installation, qui peuvent représenter entre 30 et 100 euros de plus par mètre, selon le type de pose et la complexité du chantier.
Les articles préférés
- Fuite d'eau par la toiture : comment éviter la catastrophe ?
- Prix toiture : quel budget prévoir pour refaire / réparer le toit ?
- Est-ce que le ramonage est obligatoire & quand le faire ?
- Solin de toiture : prix & conseils pour une pose parfaite
- Désembouage radiateurs : 9 étapes pour un chauffage efficace
- Prix maison à ossature bois : les tarifs au m² à connaître
- Quel est le prix d'un bornage de terrain & qui paie le géomètre ?
- Isolation des combles : 8 aides pour financer vos travaux
- Prix isolation extérieure : les bons tarifs au m² & aides
- Prix du béton désactivé au m² : calculez votre budget facilement
Commentaires