La manipulation du ciment est loin d’être sans risque pour les professionnels du bâtiment. Entre irritations de la peau, brûlures, eczéma et allergies cutanées, ce matériau, pourtant incontournable sur les chantiers, peut causer de sérieux problèmes de santé. Saviez-vous que le ciment, une fois en contact prolongé avec la peau, peut être à l'origine de maladies professionnelles ? Maçons, carreleurs, chapistes, êtes-vous bien protégés face à ces risques invisibles mais réels ? Voici les précautions à prendre pour prévenir les risques liés au ciment et préserver vos équipes sur le terrain.
Qu'est-ce que la maladie du ciment ?
La maladie du ciment désigne un ensemble d'affections cutanées liées à la manipulation ou à l'exposition prolongée au ciment. Ces pathologies résultent principalement du contact répété avec les composants alcalins du ciment, que sont notamment les silicates et les aluminates de calcium.
Les travailleurs du bâtiment, comme les maçons, les carreleurs ou encore les chapistes, sont particulièrement vulnérables, surtout lors de la manipulation de ciment frais ou mouillé. L'irritation constante de la peau peut entraîner une sensibilisation accrue aux substances présentes dans le ciment.
Dans certains cas, la maladie évolue vers un eczéma allergique chronique, pouvant affecter les capacités de travail de certains collaborateurs.
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Santé des travailleurs : quels sont les dangers du ciment ?
Principalement utilisé dans la préparation du béton ou lors de la pose de parpaings ou d'enduits, le ciment présente plusieurs risques pour la santé des professionnels du bâtiment, en particulier pour les travailleurs exposés quotidiennement au ciment. Ces risques concernent principalement la peau et les yeux, mais aussi le système respiratoire, pouvant parfois conduire à des affections graves qui peuvent être invalidantes.
Irritations cutanées
Le contact direct avec le ciment frais, qui durcit au contact de l'eau, peut provoquer des irritations cutanées, comme des brûlures, un dessèchement intense de la peau, voire des crevasses et des gerçures. Ces réactions sont essentiellement dues au pH alcalin du ciment, qui attaque la barrière cutanée naturelle. En cas de contact répété et prolongé, la peau peut développer une sensibilité accrue, rendant ces symptômes plus fréquents et douloureux.
Eczéma allergique, notamment sur les mains
Certaines impuretés du ciment, comme le chrome hexavalent ou le cobalt, peuvent déclencher des allergies de la peau. Ces dermatites allergiques, une fois installées, deviennent souvent chroniques et ne disparaissent pas même après l'arrêt de l'exposition. Les travailleurs touchés peuvent donc souffrir de démangeaisons intenses et de rougeurs, ce qui rend la manipulation du ciment difficile, voire impossible. Ces inflammations cutanées, parfois très douloureuses, touchent plus particulièrement les mains, mais peuvent aussi s'étendre aux avant-bras, aux coudes ou aux genoux.
Eczéma allergique lié à la manipulation du ciment - Photo vue sur AtoutSanté
Brûlures chimiques de la peau
Lorsque le ciment frais reste en contact prolongé avec la peau, il peut provoquer des brûlures chimiques de divers degrés de gravité. Ces brûlures résultent de la réaction exothermique qui se produit lorsque le ciment est mélangé à de l'eau. Les risques sont particulièrement élevés au niveau des genoux et des mains si les protections ne sont pas correctement utilisées.
Irritations oculaires
La manipulation du ciment sur les chantiers peut aussi entraîner des projections dans les yeux, provoquant des irritations sévères, des rougeurs et, dans les cas les plus graves, des lésions oculaires. Le port de lunettes de protection est essentiel pour éviter ces accidents.
Complications respiratoires liées à l'inhalation de poussières de ciment
Les poussières de ciment générées lors du mélange ou de la manipulation peuvent être inhalées par les travailleurs, entraînant des irritations nasales (rhinites), des toux répétitives et, à long terme, des maladies respiratoires, comme des bronchites chroniques. Ces pathologies affectent la capacité respiratoire et peuvent sérieusement compromettre la qualité de vie et la santé des travailleurs. Les risques sont notamment accrus sur les sites de production de ciment, où les concentrations de poussières sont plus importantes.
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Attention :
Certains facteurs, comme le froid, la transpiration excessive ou l'utilisation de produits de nettoyage agressifs, peuvent aggraver les symptômes liés à l'exposition au ciment. Par exemple, le lavage fréquent des mains avec des produits détergents non adaptés peut accentuer le dessèchement cutané et les irritations.
Quels sont les symptômes de la gale du ciment ou gale du maçon ?
Les symptômes de la "gale du ciment", appelée aussi "gale du maçon", une dermatite irritative due au contact fréquent avec le ciment, incluent :
- Manifestations cutanées, rougeurs et démangeaisons : la peau devient rouge, sèche et démange fortement, notamment au niveau des mains et des avant-bras.
- Sensation de brûlure : un contact prolongé avec le ciment peut provoquer une sensation de brûlure sur la peau.
- Plaques sèches : des zones sèches, épaissies et rugueuses peuvent apparaître sur les zones les plus exposées, plus particulièrement au niveau des mains.
- Gerçures, fissures et crevasses : dans les cas plus avancés, la peau peut se fissurer, rendant les mouvements douloureux. Ces symptômes nécessitent une prise en charge rapide pour éviter une aggravation.
Le port de protections adaptées et un rinçage régulier de la peau sont essentiels pour prévenir ces désagréments.
Prévention des risques liés au ciment : 6 mesures à adopter sur un chantier
En tant qu'employeur, voici 6 bonnes pratiques à mettre en place si des travailleurs sont exposés au ciment sur vos chantiers du bâtiment :
Porter des équipements de protection individuelle (EPI) adaptés
Le port d’équipements de protection individuelle (EPI) est essentiel pour minimiser les risques liés à la manipulation du ciment sur les chantiers. Les gants imperméables et résistants aux produits chimiques sont indispensables pour éviter le contact direct avec le ciment mouillé, responsable de nombreuses irritations cutanées.
Il est crucial de choisir des gants longs et doublés qui couvrent les poignets et absorbent la transpiration. Comme le précise l'Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS), "ils peuvent être en nitrile ou néoprène et ne doivent pas être portés plus longtemps que nécessaire". Il est primordial de les remplacer dès lors qu'une déchirure est constatée.
Pour protéger les yeux, des lunettes de protection ou une visière sont recommandées afin de prévenir les éclaboussures de ciment frais ou de poussières de ciment.
Le port de masques de protection respiratoire de type FFP2 ou FFP3 est aussi indispensable pour limiter l’inhalation de poussières et de particules de ciment lors des manipulations à sec ou des opérations de découpe et de ponçage.
Les vêtements de travail doivent être à manches longues et résistants, afin de protéger la peau de tout contact direct avec le ciment. Ces combinaisons doivent être changées régulièrement pour éviter l’accumulation de poussière de ciment.
Enfin, il faut s'assurer de porter des chaussures de sécurité montantes ou des bottes de sécurité en caoutchouc qui offrent une protection imperméable.
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Limiter le contact direct avec le ciment
Pour réduire les risques, il est essentiel de minimiser le contact direct avec le ciment. Il est vivement déconseillé de lisser le ciment à mains nues ou de s'agenouiller sur du ciment frais. Utiliser des outils comme des truelles, des raclettes ou des genouillères permet de préserver la peau des irritations et des brûlures. Ces outils offrent une barrière efficace entre la peau et le ciment.
Automatiser les tâches pour réduire les risques
L’automatisation de certaines tâches peut grandement diminuer l'exposition au ciment sur les chantiers. Par exemple, l'utilisation de malaxeurs automatiques pour le mélange de ciment réduit le besoin de manipulations manuelles. Cela protège les travailleurs des éclaboussures de ciment frais et limite les risques d’irritation cutanée, tout en améliorant la productivité et la sécurité sur le chantier.
Réduire l’exposition aux poussières de ciment
Pour limiter les risques liés à l'inhalation de poussières de ciment, il est recommandé de privilégier des procédés de travail qui génèrent peu de poussières. L'utilisation d'aspirateurs industriels lors des travaux de ponçage ou de découpe permet de capturer les particules fines. De plus, isoler les machines produisant des poussières dans des espaces dédiés réduit leur dispersion dans l’ensemble de la zone de travail.
Adopter des mesures d’hygiène strictes
Des mesures d’hygiène rigoureuses sont indispensables pour éviter les irritations et les réactions allergiques liées au ciment. Les travailleurs doivent disposer de points d'eau pour se laver les mains avec un savon neutre après chaque manipulation de ciment. Il est aussi important de changer régulièrement de vêtements de travail pour éviter l'accumulation de résidus de ciment sur la peau. Les vestiaires adaptés et les douches sur le lieu de travail permettent de garantir une meilleure hygiène et de limiter les risques d’exposition prolongée au ciment.
Sensibiliser les équipes aux risques du ciment
Informer les travailleurs, qu'ils soient réguliers ou occasionnels, sur les dangers liés au ciment et les bonnes pratiques à adopter est crucial pour une prévention efficace. Des sessions de sensibilisation régulières permettent de rappeler les consignes de sécurité et les bons gestes à adopter pour se protéger efficacement. Cette sensibilisation contribue à une meilleure application des mesures de prévention et à une culture de la sécurité sur les chantiers, réduisant ainsi les risques d’accidents et de maladies professionnelles.
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Maladie du ciment : peut-elle être reconnue comme maladie professionnelle ?
Les affections provoquées par l'exposition au ciment peuvent être reconnues comme maladies professionnelles en France, comme indiqué dans le tableau n°8 des maladies professionnelles du régime général du Code de la Sécurité sociale, faisant suite à un décret modifié en 2003 et paru au Journal officiel du 13 février 2003. Ce tableau recense les pathologies susceptibles d'être causées par le contact prolongé ou l'inhalation de ciment.
Parmi les maladies couramment reconnues comme maladie professionnelle figurent :
- les dermites eczématiformes (eczéma de contact),
- les ulcérations de la peau,
- les pyodermites (infections cutanées),
- les affections oculaires, comme les blépharites (inflammation des paupières) et les conjonctivites.
L'attribution de la reconnaissance en maladie professionnelle dépend de la nature des travaux réalisés et de l'exposition au risque. Voici quelques exemples de travaux particulièrement concernés et susceptibles de provoquer ces maladies :
- La fabrication, le concassage, le broyage, et l'ensachage de ciments, souvent réalisés dans des environnements où la poussière de ciment est omniprésente.
- Le transport manuel de sacs de ciment sur les chantiers, une tâche qui expose directement les travailleurs à la poussière de ciment.
- La fabrication de matériaux agglomérés ou d’objets moulés à base de ciment, où le contact direct avec le matériau est fréquent.
- L’emploi des ciments sur les chantiers de construction et de travaux publics, notamment lors des travaux de maçonnerie, de chapes ou d'enduits.
Droits et démarches pour les travailleurs affectés
Les travailleurs qui développent une pathologie liée au ciment ont le droit de demander à ce que leur maladie soit déclarée comme professionnelle. Cette reconnaissance est une démarche indispensable pour accéder à une prise en charge adaptée et à des indemnités compensatoires. Voici les étapes à suivre pour les professionnels du bâtiment concernés :
Faire établir un certificat médical
Dès l'apparition des symptômes, le salarié doit consulter un médecin, qui établira un certificat médical mentionnant la nature de la pathologie et le lien possible avec l’exposition au ciment sur le lieu de travail. Ce document est la première étape pour constituer un dossier de demande de reconnaissance d'une maladie professionnelle.
Constituer un dossier de demande
Le salarié, ou son employeur, doit ensuite déposer une déclaration de maladie professionnelle auprès de la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM). Ce dossier doit inclure le certificat médical, les preuves d'exposition (comme les fiches de poste ou les attestations de l'employeur) et une description des tâches réalisées.
Délais de reconnaissance et prise en charge des frais médicaux
Une fois la demande déposée, la CPAM dispose d’un délai de 3 mois pour statuer sur la reconnaissance de la maladie professionnelle, avec une prolongation possible de 3 mois supplémentaires en cas d'expertise médicale. Si la maladie est reconnue, le salarié bénéficie d'une prise en charge à 100 % des frais médicaux liés à cette affection et peut percevoir des indemnités journalières sans délai de carence en cas d'arrêt de travail.
Indemnités et compensation financière
En cas de réduction de la capacité de travail ou d’incapacité permanente partielle (IPP), une indemnisation supplémentaire peut être attribuée. Elle est calculée en fonction du taux d'incapacité et de la rémunération antérieure du salarié. Cette indemnisation vise à compenser la perte de revenus liée à la diminution de la capacité de travail.
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Le rôle de l'employeur :
L'employeur doit faciliter la constitution du dossier de reconnaissance en fournissant les informations nécessaires sur les conditions de travail et l’exposition au ciment. De plus, il est tenu de mettre en place des mesures pour prévenir de nouveaux cas et d’adapter les postes de travail des salariés affectés, si nécessaire.
Comment soigner l'eczéma du ciment ?
L'eczéma du ciment, aussi appelé dermatite de contact ou gale du ciment, est une réaction cutanée fréquente chez les professionnels du bâtiment. Il ne s'agit pas d'une infection parasitaire comme la gale classique, mais bien d'une dermatite provoquée par une irritation due aux particules fines de ciment qui s'incrustent sur la peau.
Le traitement pour soigner cet eczéma repose sur la protection de la peau et la réduction de l'exposition au ciment en portant des équipements de protection individuelle adaptés.
Quel traitement pour la gale du ciment ?
Pour apaiser les symptômes, un nettoyage minutieux de la peau après chaque contact avec le ciment et l'application de crèmes hydratantes et apaisantes sont recommandés. Si des rougeurs et démangeaisons apparaissent, l'utilisation de crèmes émollientes pour hydrater la peau est conseillée pour calmer les irritations. En cas de persistance des symptômes, un médecin peut prescrire des crèmes à base de corticoïdes pour réduire l’inflammation. Si les symptômes s'aggravent, il est nécessaire de consulter un dermatologue.
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PME du bâtiment : prévenir les maladies du ciment, un enjeu de productivité
Pour limiter les arrêts de travail liés aux maladies du ciment et garantir la continuité des chantiers, formez systématiquement vos équipes aux risques d'exposition et à l'usage des équipements de protection individuelle (EPI) adaptés. Assurez-vous que chaque ouvrier porte des gants et des masques certifiés, et prévoyez un stock suffisant sur chaque chantier pour éviter de vous retrouver dans une situation délicate. De plus, sensibilisez votre responsable technique à l'organisation de briefings réguliers pour rappeler les bonnes pratiques : ne pas lisser le ciment à mains nues, toujours se laver les mains avec un savon neutre après chaque manipulation...
En cas de signalement de premières irritations ou de symptômes de dermatite, prenez des mesures immédiates en collaboration avec votre secrétaire ou responsable administratif pour faciliter la visite chez le médecin du travail. Un suivi rapide réduit le risque de complications et les arrêts prolongés, tout en renforçant la confiance des ouvriers dans leur entreprise. Cela vous permet non seulement de mieux gérer vos équipes, mais aussi de préserver votre image de marque auprès des clients en évitant les retards de chantier. Une gestion préventive et réactive des risques liés au ciment peut ainsi devenir un atout pour la productivité et la compétitivité de votre PME.
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À retenir :
Pour les entreprises du bâtiment, une gestion proactive de ces situations à risques limite les coûts liés aux arrêts de travail prolongés et contribue à la protection de la santé et au bien-être des équipes.
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👷 Le Conseil du Pro : agissez rapidement en cas de contact avec le ciment !
En cas de contact avec du ciment, ou pire de projection sur la peau ou dans les yeux, réagissez rapidement pour éviter les complications. Rincez abondamment la peau ou les yeux à l'eau claire pendant 15 minutes. En parallèle, nettoyez sans tarder les vêtements, chaussures et outils souillés avec de l’eau pour éviter une exposition prolongée. Si vous ressentez des brûlures ou des démangeaisons, consultez rapidement le médecin du travail. Si les symptômes s'aggravent, contactez sans attendre un secouriste issu de vos équipes ou appelez le SAMU au 15 ou les pompiers au 18. Agir vite, c’est limiter les risques !
Les questions fréquentes
Comment reconnaître une allergie au ciment ?
Une allergie au ciment se manifeste par des rougeurs, démangeaisons, cloques ou eczéma sur les zones de peau en contact avec le ciment. Les symptômes apparaissent généralement après plusieurs jours ou semaines d'exposition et peuvent devenir chroniques si le contact avec le ciment persiste.
Comment traiter les brûlures causées par le ciment ?
En cas de contact prolongé avec le ciment, rincez immédiatement la peau à l'eau claire pour enlever toute trace. Consultez un médecin pour évaluer la gravité de la brûlure et appliquer les soins appropriés. L'utilisation de crèmes hydratantes ou cicatrisantes peut aider à la guérison, mais l'avis d'un professionnel de santé est crucial.
Quelles sont les conséquences de l'inhalation de poussières de ciment ?
L'inhalation de poussières de ciment peut causer des irritations des voies respiratoires, des rhinites et des bronchites chroniques. À long terme, cela peut altérer la fonction respiratoire et causer des maladies pulmonaires. Il est recommandé de porter un masque de protection FFP2 ou FFP3 pour limiter ces risques.
Références :
- "Prévention des risques liés au ciment", INRS
- "Comment prévenir les risques liés au ciment sur les mains ?", MMA
- "Les risques liés au ciment", Manpower
- "Gale du maçon, gale du ciment", Les Baumes de Marie
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